Journée tchador obligatoire
Aujourd'hui, c'était ce que j'appelle une journée "tchador boligatoire". Première fois de l'année où je suis allé au centre-ville. Et encore, c'est parce que un ami m'avait invité à manger.Il faisait beau. Pas trop chaud. Et on aurait dit que toutes les femmes avaient vingt ans. Il y avait celles qui revenaient montrer leur bronzage de juillet. Les très jeunes dont la mini-robe était presque un outrage aux yeux. À vous donner envie d'aller manger à l'intérieur dans le fin fond de la salle du resto. La serveuse aux petits seins mais à la grande bride noire du soutien-gorge qui venait prendre la commande. L'odeur de son sourire et celle de sa peau qui vous fait dire que, vraiment, vraiment, vraiment, il serait préférable d'euthanasier les gans à quarante ans...