18 juillet 2012
Mots d'excuses
Il y avait déjà eu le cancéreux des testicules qui est revenu plus fort qu'avant, celui qui buvait du whisky et de la bière pour surmonter sa défaillance de la veille, celui qui l'était à l'insu de son plein gré, celui qui se souvenait des mois plus tard que tel jour il avait dû mangé une pièce de boeuf sans doute aux hormones. Il y avait eu aussi celui dont on avait découvert après analyse d'urine qu'il était... enceinte. Aujourd'hui, il y a la victime d'un empoisonneur. Les excuses des dopés du Tour de Rance sentent bon l'école primaire. On devrait en faire un livre.
Vu aussi, tout à l'heure sur un chat, cette remarque remarquable d'un journaliste. C'est amusant, le Tour de Rance...
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