29 octobre 2007
Une lettre de Nicolas
Nicolas vient de m'envoyer à l'instant un émile. Ce n'est pas le premier, même s'il ne m'écrit pas tous les jours, loin de là. Nicolas s'inquiétait un peu de mon silence de deux jours. Je n'ai guère d'explications à donner à cela. Juste une petite pause comme ça. La pluie peut-être. Les pièces de la maison à nettoyer. Rien de bien bien grave. Que du banal. Pas de quoi s'inquiéter, Nicolas. Pas de quoi piquer une crise de colère, arracher son micro et quitter la pièce parce qu'une journaliste américaine vous posait une question que votre majesté trouvait indigne de son augustitude.
Mais, je m'égare. Ce n'est pas lui qui m'écrivait. Vous l'aurez compris, je ne mets jamais de majuscule au prénom du tsaron.
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