Et alors?

Le ministre de la justice italien a assisté au dernier gp de f1 de Monza. Il s'y est rendu avec son fils ainsi qu'avec le vice-premier. Un journaliste de l'hebdomadaire l'Espresso, sans doute encore un jaloux de plus, fait tout un foin sous prétexte que le ministre n'a pas acheté trois billets Alitalia à 200 euros, préférant prendre l'Airbus officiel du gouvernement, dont coût de 20.000 euros payés par le contribuable. Et alors? Un avion de ligne régulière bondé, d'abord il faut faire la file, être fouillé et puis c'est comme un bus aux heures de pointe : ça sent la sueur. Je vois vraiment pas où est le mal. L'avion est là pour servir, pas pour rouiller au sol, non?