7 juillet 2013
Quand l'heure de la retraite sonne
Je n'étais pas vraiment un fan de ses peintures "pop", ni de ses sculptures, mais j'aimais bien Fernand. Quand on se voyait, on prenait un verre ou deux ou plus, on égratignait, entre deux rires, la ville de Luik. Preuve que, finalement, nous aimions bien notre ville. Que sa lente dégradation ne nous laissait pas insensible.
Fernand avait un sens de l'humour assez caché. La preuve, il a choisi d'attendre d'avoir 65 ans pour prendre sa retraite définitive. C'est une amie qui vient de me l'apprendre à l'instant. Et, comme je dis toujours, quand un peintre s'en va, c'est toujours un coin de couleur qui manque dans le ciel.
Salut, Fernand.
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