Les tatouages
Je ne vais pas faire plaisir à mon ami Guy Lemaire (le photographe, pas l'homme de télévision), mais je n'aime pas les tatouages.
Portrait de Guy Lemaire
Non pas que je trouve cela laid, il y en a même de très beaux, mais cela m'a toujours révulsé, un peu comme les personnes qui sont repoussées par la vue d'un lombric. Ça ne s'explique pas. À Liège, tout le monde se souvient de ce type grand fan de Johnny Hallyday qui s'était fait tatouer, sur tout la longueur du bras "Jhonny" (sic). Je me souviens aussi avoir frémi en voyant un homme d'une soixantaine d'années à l'époque qui prenait un verre à côté de moi et dont le poignet était orné d'une série d'une douzaine de chiffres... Mais ça, c'est une autre histoire.
Lors de mon dernier séjour à l'hôpital, j'avais demandé à l'infirmière en chef s'il était obligatoire d'être tatoué pour se faire soigner ? Je me demande même si je n'étais pas le seul patient à avoir la peau vierge. Je vous avais parlé à l'époque de cette jeune dame au décolleté plus que plongeant qui avait expliqué à un autre patient qu'elle s'était fait tatouer l'empreinte de la patte de son chien sur chacun de ses seins. Ça devait être un assez gros toutou.
L'autre jour, en surfant vaguement sur le net, je suis tombé sur ce tatouage assez extraordinaire. Je n'en croyais pas mes yeux... Je me suis dit que cette dame avait dû faire une fausse couche...