Certes, Feuilly, certes
Au bout du compte, ce sont toujours les salauds de pauvres qui payent. Mais, quand ils n'auront plus rien, que pourra-t-on encore leur prendre, sinon la vie? Ce qui permettra à celles et ceux qui ont vu 917 milliards d'euros ces derniers jours de ramasser encore plus de miettes pour se partager le reste du gâteau en plus grosses parts.
De toute manière, riches appauvris, ils crèveront quand même. Mais de manière plus douloureuse que les gens habitués à n'avoir rien eu...
Birmingham, Birmingham, Birmingham... Hou... Ha!!! (170 millions d'euros, c'est la facture des dégâts occasionnés par les "gangs" lors des émeutes anglaises. À côté des 917 milliards d'euros évaporés (mais pas pour tout le monde) dans les Bourses mondiales, c'est comme si j'avais balancé ma crotte de nez contre une vitrine de chez Vuitton...