27 novembre 2007
Profiteurs
Voiltipas que la racaille des banlieues profite de l'absence du tsaron pour refoutre le capharnaüm dans les cités. C'est quand même malheureux d'être aussi lâche.
Notons que, selon de nombreux témoignages locaux, ces violences n'ont jamais cessé, même après le couronnement de nicolas. Disons qu'elles avaient cessé d'être porteuses de voix. Disons que cette prétendue recrudescence tombe à pic. On voit mal le tsaron, rentré de Chine, fermer les yeux sur cette insoutenable violence. Ça permettra de ne pas aborder la mythique perte du pouvoir d'achat qui, toutes les études le prouvent, n'est qu'une hallucination collective.
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