8 octobre 2007
Deux fois par jour encore
Finalement, l'omniprésence cathodique du tsaron n'est pas sans rappeler celle dominicale du non moins mégalomane Jacques Martin dont la prétendue impertinence n'a cessé de diminuer à mesure qu'enflait son obésité. À la fin (et diable sait si la fin fut longue), il emmerdait tout le monde. Un peu commes les tubes matraqués sur les ondes. On écoute d'abord, ça devient une scie ensuite.
L'embêtant, c'est que Martin a duré vingt ans, sinon plus (je ne me souviens plus). On espère qu'il y aura bien vite un trou ou l'autre sur le chemin d'un jogging.
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