5 octobre 2007
Cinq minutes
C'est le temps que le tsaron a consacré aux infirmières bulgares lors de sa visite à Sofia.
Il est vrai qu'il avait une excuse : il devait rentrer pour soigner l'angine de Cécilia.
On notera tout de même un extrait merveilleux de son discours :
"Si j'avais attendu, aujourd'hui on parlerait encore de leur emprisonnement. C'est vrai, les Allemands avaient bien travaillé. Barroso aussi, les Italiens, tout le monde ! Mais à un certain moment, il faut quelqu'un pour mouiller le costume. (...) Il faut jouer collectif, mais de temps en temps, il faut marquer un but. Mais les ballons dans la vie, il faut aller les chercher. Et moi, les ballons, on ne me les a jamais donnés, j'ai toujours été les chercher."
Con comme la lune dans le caniveau...
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