8 septembre 2007
Ardente, ma non troppo
Non, sous ce titre, je ne parle pas de Lîdje.
L'envoyé spécial du Soir au festival du cinématographe à Venise a eu l'occasion d'interroger Fanny Ardant. A le lire, on avait plutôt l'impression d'une rédaction d'un adolescent des années 70 racontant ce que son bas-ventre avait ressenti en découvrant Laura Antonelli dans Malizia avant que la chirurgie esthétique ne la défigure.
N'empêche que l'envoyé spécial est audacieux et poète, il a osé titrer son article "Ardente Fanny". Mon dieu! Quelle trouvaille!!!
On ne sait pas si l'auteur a mis huit ans ou plus pour obtenir son diplôme universitaire dans la sous-catégorie de l'art en communication.
On espère pour lui qu'il est toujours en maternelle.
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